mardi 8 novembre 2011

Les femmes asiatiques refusent le mariage



Un article tres interessant du Bangkok Post
http://bangkokpost.newspaperdirect.com/epaper/viewer.aspx/viewer.aspx?issue=12642011082800000000001001&page=21&article=38cc7a70-4e17-46d9-86f5-9eec8271ba00&key=qIDzvGC3ntPut+w6IVVAiQ==&feed=rss

A travers l'Asie, une grande partie des femmes rejettent le mariage en faveur d'une plus grande liberté et moins de servitude, et les implications sociales sont graves

Il y a vingt ans, un débat a éclaté pour savoir si il y avait des valeurs asiatiques spécifiques''''. La plupart attiré l'attention sur les revendications douteuses par des autocrates que la démocratie n'était pas parmi eux. Mais un plus intriguant, si moins remarqué, l'argument était que les valeurs familiales traditionnelles ont été plus fortes en Asie qu'en Amérique et en Europe, et que cela explique en partie le succès économique de l'Asie. Dans les mots de Lee Kuan Yew, ancien Premier ministre de Singapour et un ardent défenseur des valeurs asiatiques, la famille chinoise a encouragé''bourses d'études et le travail acharné et l'épargne et le report de jouissance actuelle des gains futurs''.

Across much of the continent Asian women are rejecting marriage in favour of more freedom and less servitude, and the social implications are serious

Twenty years ago a debate erupted about whether there were specific ‘‘Asian values’’. Most attention focused on dubious claims by autocrats that democracy was not among them. But a more intriguing, if less noticed, argument was that traditional family values were stronger in Asia than in America and Europe, and that this partly accounted for Asia’s economic success. In the words of Lee Kuan Yew, former prime minister of Singapore and a keen advocate of Asian values, the Chinese family encouraged ‘‘scholarship and hard work and thrift and deferment of present enjoyment for future gain’’.


dimanche 22 mai 2011

La securite sociale a Singapour


On ne saurait faire plus simple: Vous payez, voici l'usage...


samedi 7 mai 2011

Un nouveau livre des editions Gope


Aujourd’hui, est-ce que le nom de Suzie Wong vous dit quelque chose ? Une ligne de vêtements sexy, une marque de produits asiatiques, le nom d’un restaurant... Mais saviez-vous que cela vient d’un roman écrit par le britannique, Richard Mason ? « Le monde de Suzie Wong », qui vit le jour en 1957, décrit la rencontre et la romance entre Suzie, une prostituée de Hong Kong, et Robert Lomax un peintre américain. Entre un homme qui vient de perdre son temps dans une plantation d’hévéas en Malaisie, et cette jeune femme pauvre, mère célibataire, rejetée de tout côté. Le livre a eu un tel succès qu’il fut adapté au cinéma en 1960, avec les acteurs William Holden et Nancy Kwan. Comment expliquer un tel engouement ? Probablement, la fascination pour l’inconnu, l’exotisme. Comme l’explique Gérard Henry, journaliste et directeur adjoint de l’Alliance française à HK en préface de l’ouvrage : « Séduire Suzie Wong, c’était pour l’étranger trouver la clé qui ouvrirait la porte d’une culture qui lui était incompréhensible. Suzie Wong devenait ainsi l’incarnation de l’exotisme et l’objet de tous les fantasmes occidentaux, fantasme érotique y compris, car ce dernier imaginait des plaisirs rares et inconnus, dignes des paradis artificiels ». Et aujourd’hui encore, l’histoire de cette rencontre improbable vaut toujours la lecture, un demi-siècle plus tard. Bien écrit, divertissant, riche en rebondissements, le roman a plutôt bien vieilli. Un petit détour par Hong Kong ?

lundi 25 avril 2011 par Emmanuel Deslouis, eurasie.net 


samedi 2 avril 2011

Singapour Ville propre polluée

Curieux que ce genre d'information ne spoit pas publiée à Singapour